Borely, le fraqué fut frisquet !

97 ans après cette photo. 18h30, Borély ce mercredi.

Franck nous apporte des nouvelles de l'infirmerie. Elles ne sont pas bonnes. Le coach est couché, la fée-brile*, et pas de yéti  ni de zébulon qui avaient pourtant annoncé leurs présences.

Mais les six qui étaient là, en cette fraîche soirée, en voulaient. Au programme : du bon frac bien de chez nous. Dix fois 400 m entrecoupés de pauses de 90 secondes. Presque une rigolade après l'inhumaine pyramide fraquée de la semaine précédente. On a presque eu froid, c'est vous dire. Bon on vous rassure personne n'aurait fait un tour de plus.

C'est le miracle et le paradoxe du frac : au début on se dit que ça sera facile, en cours de route on se dit qu'on ira jamais au bout, et puis on y parvient quand même. On finit toujours mort mais on finit toujours par ressusciter. Frac ! je t'aime. Moi non plus.

* Droits d'auteur : Nathalie